Phishing : comprendre l’hameçonnage mail pour protéger vos clients (et l'e-réputation de votre entreprise)

Le phishing, ou hameçonnage, est l’une des cybermenaces les plus courantes et les plus dangereuses pour vos clients… et votre marque. Derrière un mail en apparence légitime se cache souvent une tentative de vol d’informations sensibles (identifiants, coordonnées bancaires…). Dans cet article, MO&JO vous aide à décrypter les mécaniques du phishing pour mieux sécuriser vos communications. En comprenant ce qui déclenche la méfiance — ou au contraire, la confiance — vous pourrez adapter vos emails, éviter les ambiguïtés et renforcer la crédibilité de vos envois. Types de phishing, réactions des destinataires, bonnes pratiques design et réflexes à adopter en cas de clic suspect : tout y est pour protéger votre audience et votre e-réputation.

Temps de lecture :
5 min
Lorraine
Publié le
4/15/2025
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5 min
Lorraine
Publié le
4/15/2025

Phishing : comprendre l’hameçonnage mail pour protéger vos clients (et l'e-réputation de votre entreprise)

Le phishing, ou hameçonnage, est l’une des cybermenaces les plus courantes et les plus dangereuses pour vos clients… et votre marque. Derrière un mail en apparence légitime se cache souvent une tentative de vol d’informations sensibles (identifiants, coordonnées bancaires…). Dans cet article, MO&JO vous aide à décrypter les mécaniques du phishing pour mieux sécuriser vos communications. En comprenant ce qui déclenche la méfiance — ou au contraire, la confiance — vous pourrez adapter vos emails, éviter les ambiguïtés et renforcer la crédibilité de vos envois. Types de phishing, réactions des destinataires, bonnes pratiques design et réflexes à adopter en cas de clic suspect : tout y est pour protéger votre audience et votre e-réputation.

Imaginez : vous ouvrez votre boîte mail. Un message impeccable vous alerte d’une activité suspecte sur votre compte. Il faut cliquer vite pour vérifier votre identité. L’adresse semble légitime, le ton pressant… Que feriez-vous ?

 

C’est ainsi que commence une tentative d’hameçonnage - ou phishing. L’objectif est simple : voler vos informations (identifiants, coordonnées bancaires ou d'autres informations confidentielles) ou accéder à votre compte

Ce qui rend l’attaque efficace, c’est sa crédibilité. Et en tant que professionnel, vous devez comprendre ce que ressent un destinataire face à ce type de message. Car pour bien communiquer, il faut aussi parler le même langage.

Le phishing s’appuie sur des leviers puissants : urgence, peur, autorité. Il cible les comptes bancaires, les espaces personnels ou les services publics. Et non, ce ne sont pas toujours des messages bourrés de fautes. Certains sont parfaitement construits. 

En vous mettant à la place de vos utilisateurs, vous pourrez :

  • détecter ce qui crée le doute,
  • ajuster vos messages pour éviter toute confusion,
  • et mieux prévenir les situations à risque.

La moindre ambiguïté dans un email peut semer la confusion et nuire à la confiance de vos utilisateurs. Chez MO&JO, agence emailing, nous vous aidons à concevoir des communications claires, sécurisées et rassurantes, pour limiter les risques de confusion avec une escroquerie et renforcer votre image de marque.

En Bref 

  • Comment reconnaître un mail de phishing ? Un mail de phishing contient souvent une adresse suspecte, un ton alarmiste, des fautes, et un lien frauduleux vers un faux site.
  • Quels sont les risques pour une victime d’hameçonnage ? Une victime peut subir le vol de ses informations personnelles, l’usurpation de son identité, la perte d’accès à ses comptes ou une escroquerie financière.
  • Que faire en cas de mail frauduleux ? Ne cliquez sur aucun lien, changez immédiatement vos mots de passe, signalez l’escroquerie sur Pharos ou Signal Spam, et contactez votre banque.
  • Comment éviter de tomber dans le piège du phishing ? Vérifiez l’adresse de l’expéditeur, ne communiquez jamais vos mots de passe, et méfiez-vous des messages trop urgents ou trop beaux pour être vrais.

1. Anatomie d’un mail de phishing : mettez-vous dans la peau du destinataire

Prenons un exemple concret : 

Objet : "Suspension immédiate de votre compte – Action requise"

L’email imite parfaitement celui d’un opérateur téléphonique. Le logo est identique, la signature professionnelle, et l’expéditeur semble sérieux : service-mo-jo@orange-securite.com. Pourtant, chaque élément cache une arnaque.

Ce que voit votre destinataire lors d'une tentative de phishing 

  • Un message alarmant : il est question de suspension ou de fraude, ce qui provoque un réflexe de panique.
  • Un lien rassurant : “Cliquez ici pour valider votre identité”.
  • Une adresse d’expéditeur proche de la vraie, mais avec une variation subtile.
  • Un appel à l’action rapide, qui empêche toute réflexion à froid.

Ce que cache réellement ce mail de phishing 

  • Le lien renvoie vers un site frauduleux imitant la page de connexion d’un service connu.
  • L’adresse mail, bien que visuellement correcte, n’a aucun lien avec l’organisation réelle.
  • Le texte contient souvent un ton trop formel ou trop urgent, ce qui devrait mettre la puce à l’oreille.

La signature ne comprend parfois aucun contact vérifiable, ni numéro, ni lien vers des mentions légales.

En tant que pro, posez-vous ces questions : 

  • Vos propres mails contiennent-ils un ton ou un format pouvant être confondu avec du phishing ?
  • Vos liens sont-ils explicites ou masqués derrière des boutons génériques ?
  • Fournissez-vous une adresse de réponse claire et identifiable ?
  • L’apparence de vos mails respecte-t-elle les standards de confiance et de transparence attendus  ?

Ce type d’analyse est essentiel pour auditer vos pratiques de communication. Trop souvent, des marques bien intentionnées envoient des messages qui — sans le vouloir — ressemblent à s’y méprendre à une tentative d’hameçonnage.

Et dans ce cas, c’est la relation client qui trinque.

2. Les typologies de phishing à connaître absolument

Tous les mails frauduleux ne se ressemblent pas. Et si vos destinataires reçoivent un mail suspect, ils feront instinctivement un parallèle avec vos propres messages. Connaître les formes les plus courantes d’hameçonnage est donc essentiel — pour les repérer, mais aussi éviter de les reproduire dans vos communications.

Le phishing bancaire

C’est la version la plus connue. Un faux mail émanant d’une banque, d’un service de paiement ou d’un compte client prétend détecter une activité suspecte ou vous demander de “valider votre identité”.

L’objectif ? Récupérer vos identifiants bancaires ou vos données personnelles.

Exemple typique : “Votre code de sécurité a expiré. Veuillez le renouveler via ce lien.”

Le phishing de livraison

Très courant depuis l’explosion du e-commerce, ce type de mail usurpe des plateformes comme La Poste, Chronopost ou Mondial Relay.
Votre destinataire pense que son colis est bloqué... mais le lien redirige vers un site frauduleux.

Conseil pro : si votre marque envoie des mails transactionnels, soignez les visuels, l’adresse d’expédition et les CTA. Un détail flou, et vous serez mis dans le même sac qu’un spam.

Le phishing via services en ligne

Netflix, impôts, Caf, plateformes de streaming, boutiques en ligne… tout y passe. Le mail semble venir d’une plateforme de confiance et vous pousse à mettre à jour vos données.

Les destinataires ont désormais un réflexe : “Est-ce un vrai mail ou une arnaque ?”
Faites en sorte que la réponse soit évidente.

Le phishing multicanal : SMS, appels, messageries

Les escrocs ne se limitent plus au mail. Ils utilisent aussi :

  • les SMS (smishing) avec des liens courts vers des pages frauduleuses ;
  • des appels (vishing) pour faire pression verbalement ;
  • ou même des messages via WhatsApp, Messenger ou d’autres messageries.

En entreprise, formez vos collaborateurs à ne jamais divulguer de code, mot de passe ou données personnelles par téléphone, même sous pression.

Les typologies de phishing
Source MO&JO : Les typologies de phishing

3. Comment vos destinataires réagissent-ils face à un mail suspect ?

En tant que professionnel, vous avez probablement une bonne intuition des risques liés au phishing. Mais vos destinataires, eux, n’ont pas toujours les bons réflexes. Et leurs réactions face à un mail frauduleux peuvent influencer la confiance qu’ils vous accordent, même involontairement

Comment éviter que vos emails soient considérés comme spam ? Cela commence par une meilleure compréhension de leurs réactions.

Voici trois profils de réaction typiques :

1) Le client stressé : il clique sans réfléchir

Sous l’effet de la peur ou de l’urgence, il clique immédiatement. Il pense qu’il risque de perdre son compte, ses informations personnelles ou son argent.

Résultat : ses informations sont volées, et il vous contacte ensuite, pensant que le mail venait de vous.

2) Le client méfiant… mais pas suffisamment informé

Il trouve le mail suspect mais ne sait pas quoi faire. Il hésite, le met de côté, ou contacte votre service client pour demander si le message est légitime.

C’est un point de contact crucial pour rassurer, informer et renforcer la relation.

3) Le client agacé : il signale ou se désabonne

Trop de messages ambigus ? Il vous classe comme spam, vous signale comme suspect ou se désinscrit, pensant que vous n’êtes pas fiable.

Ce que cela change pour vous, professionnel :

  • Un email mal formulé peut vous faire perdre la confiance du destinataire.
  • Un mauvais design ou un ton trop agressif peut vous faire passer pour un spammeur ou, pire, un escroc.
  • Une absence de lien vers un signalement officiel (ou un service support réactif) peut laisser vos destinataires sans solution face à une vraie tentative d’escroquerie.

En bref : soyez clairs, cohérents et rassurants dans chacune de vos communications.

Et surtout, anticipez la perception client. Car face au phishing, ce n’est pas celui qui envoie le mail qui fait peur… c’est celui qui est mal compris.

4. Bonnes pratiques pour des communications sans ambiguïté

L’un des plus grands risques pour une entreprise, ce n’est pas d’envoyer un mail frauduleux… mais d’en envoyer un qui ressemble à une tentative de phishing. Un message flou, un lien ambigu ou un ton trop alarmiste peut faire fuir  – ou pire, habituer vos destinataires à des signaux que les cybercriminels utilisent.

Adoptez le réflexe “anti-phishing design”

Vos emails doivent rassurer dès le premier coup d’œil. Pour cela :

  • Utilisez une adresse d’expédition claire et cohérente avec votre nom de domaine (évitez les sous-domaines ou adresses génériques type noreply@contact-marketing-xyz.io).
  • Intégrez un logo bien visible, une charte graphique familière, et une signature complète (nom, fonction, numéro, lien vers votre site).
  • Privilégiez les liens explicites : bannissez les “Cliquez ici” vagues, et affichez les URLs complètes ou les noms de service associés.

Soignez le ton et le contenu

Un email n’est pas un spot d’alerte rouge. Évitez :

  • les formulations trop urgentes : “DERNIÈRE CHANCE”, “CLIQUEZ IMMÉDIATEMENT”…
  • les sanctions fictives : “Votre compte sera suspendu si…”
  • les formules impersonnelles ou robotisées.

À l’inverse, privilégiez un langage clair, humain et informatif. Vos destinataires doivent comprendre ce que vous attendez d’eux… sans stress ni confusion.

Vérifiez la délivrabilité et la légitimité technique

  • Activez les protocoles de sécurité mail (SPF, DKIM, DMARC) pour éviter que vos messages n’atterrissent en spam — ou ne soient détournés.
  • Testez vos campagnes avec des outils de prévisualisation pour détecter les signes qui pourraient les faire passer pour un mail frauduleux.
  • Intégrez une mention “Vous recevez cet email car…” pour rappeler le contexte.

Bon à savoir : certains services comme Google ou Apple affichent désormais une vérification de l’expéditeur (logo, badge) via des standards comme BIMI. Un vrai plus pour instaurer la confiance.

5. Vous avez cliqué… ou vos clients aussi : que faire ensuite ?

Même avec les meilleures précautions, le risque zéro n’existe pas. Un clic malheureux, un fichier téléchargé, une fausse page complétée… Et le mal est fait.

Mais ce n’est pas une fatalité. Si vous (ou vos abonnés) avez été piégés, il y a des réflexes simples et efficaces à adopter — à condition d’agir rapidement.

1) En interne : mettez en place un protocole clair

Sensibilisez vos équipes aux bons réflexes :

  • Déconnecter immédiatement l’appareil si une action douteuse a été faite.
  • Changer tous les mots de passe liés aux comptes potentiellement compromis, surtout si des informations sensibles ont été partagées.
  • Prévenir le service IT ou la personne responsable de la cybersécurité.Faire un signalement si besoin (voir plus bas).

Mieux encore : intégrez ce process dans un guide d’action en cas de phishing, accessible à tous, et mettez-le à jour régulièrement.

2) En externe : accompagnez vos abonnés

Si un abonnés vous contacte après avoir cliqué sur un lien frauduleux de phishing croyant que vous en étiez l’auteur, vous devez :

  • le rassurer (“Vous avez bien fait de nous contacter”),
  • lui expliquer les démarches à suivre (changer ses mots de passe, signaler, etc.),
  • lui fournir des ressources fiables. En cas d’escroquerie par phishing, il est essentiel de déposer une plainte rapidement, notamment si des données sensibles ont été compromises.

De nombreuses plateformes officielles permettent de signaler les escroqueries d'hameçonnage en ligne directement sur internet, pour limiter leur propagation.

Exemple de ressource utile pour signaler l'hameçonnage :

  • Signal Spam
  • Pharos – Internet-signalement.gouv.fr
  • Cybermalveillance.gouv.fr

3) Bonus : préparez des scénarios de crise 

Que se passe-t-il si un faux mail circule au nom de votre entreprise ?
Anticipez le phishing avec :

  • Un message officiel à diffuser (site, réseaux, email),
  • Un support client briefé pour gérer les retours,
  • Une page dédiée de signalement si vous êtes fréquemment usurpés.

Protéger vos abonnés, c’est aussi protéger votre marque et votre réputation. En cas d’usurpation, informez rapidement vos destinataires et centralisez les informations utiles sur une page dédiée.

6. Le phishing aujourd’hui : données, tendances et impact 

Vous avez sûrement déjà reçu un mail de phishing. Mais savez-vous à quel point ce phénomène explose — et surtout, comment il affecte la perception que vos clients ont de votre entreprise ?

L’une des méthodes les plus utilisées par les cybercriminels est l’email spoofing : une technique qui consiste à usurper une adresse email d’apparence légitime pour tromper le destinataire. Cette falsification rend le phishing encore plus difficile à détecter, car le message semble provenir d’une source fiable.

1) Les chiffres à connaître concernant l’hameçonnage

  • Selon le rapport 2023 de Cybermalveillance.gouv.fr, l’hameçonnage est la menace la plus fréquemment signalée par les particuliers, les entreprises et les collectivités.
  • En 2022, 55 % des internautes français ont déclaré avoir été exposés à une tentative de phishing, selon une étude menée par l’INSEE.
  • En 2023, les attaques par email malveillant représentent toujours l’un des premiers vecteurs d’intrusion dans les systèmes d’information, d’après l’ANSSI.
  • Des campagnes ciblées visent désormais directement les entreprises : fausses factures, usurpation de fournisseurs, simulation de messagerie interne… des escroqueries bien rodées et souvent difficiles à repérer.

Et ce n’est pas près de s’arrêter : avec l’IA, les cybercriminels créent désormais des emails encore plus convaincants, sans fautes, avec un ton parfaitement calibré.

2) L’impact sur votre image

Même si vous n’êtes pas à l’origine d’un mail frauduleux, si vos abonnés reçoivent une imitation de votre marque :

  • Ils perdent confiance (et se désengagent),
  • Ils peuvent vous accuser à tort (mauvaise réputation),
  • Ils attendent de vous une réaction rapide, claire et professionnelle.

Votre relation avec le destinataire repose sur la clarté, la sécurité et la transparence. Et le phishing peut tout mettre à mal… en un clic.

7. Étude de cas : Google et Facebook victimes d’une escroquerie par email à plus de 100 millions $

Entre 2013 et 2015, Google et Facebook ont été piégés par une fraude au faux fournisseur orchestrée par un escroc lituanien, Evaldas Rimasauskas.

Son plan ? Se faire passer pour l’un de leurs fournisseurs réels, Quanta Computer, via des emails frauduleux très crédibles.

Il a créé de fausses adresses email, envoyé de fausses factures, et demandé des virements vers des comptes qu’il contrôlait. Résultat : plus de 100 millions de dollars détournés. Rimasauskas a été arrêté en 2017 et condamné à 5 ans de prison aux États-Unis en 2019.

1) Quel type de phishing ?

Cette attaque relève du BEC (Business Email Compromise), une forme de phishing ciblé.
Ici, pas de lien piégé, mais une usurpation d’identité bien ficelée, destinée à tromper des services financiers internes.

2) Ce qu’il faut en retenir

Même les plus grandes entreprises peuvent être victimes de ce type d’escroquerie si les vérifications sont insuffisantes.
Ce cas souligne l’importance de former les équipes, de vérifier les adresses expéditrices, et de doubler les validations sur les virements sensibles.

8. Formez vos équipes et vos clients à détecter les pièges

La meilleure défense contre le phishing ? L’humain.
Une équipe bien formée et des clients bien informés réduisent drastiquement les risques d’attaque réussie.

1) Côté interne : embarquez toutes vos équipes

Ne limitez pas la cybersécurité à l’IT. Vos commerciaux, chargés de compte, supports client, RH… tous sont concernés pour agir contre le phishing. 

Voici des actions concrètes pour lutter contre le phishing :

  • Formations régulières sur les signaux d’alerte et la protection des informations personnelles,
  • Simulations de phishing en interne pour tester les réactions,
  • Création d’un référent cybersécurité dans chaque équipe,
  • Checklist de vérification avant d’ouvrir un mail ou de partager une information sensible.

2) Côté client : éduquez sur le phishing sans effrayer 

Vos clients ne veulent pas devenir experts en cybersécurité. Mais ils ont besoin de repères simples et rassurants.

À intégrer dans vos parcours client :

  • Des guides ou vidéos : “Comment reconnaître un mail frauduleux ?”
  • Un encart régulier dans vos newsletters : “Nos conseils cybersécurité”
  • Un système de signalement simple pour qu’ils puissent vous alerter en cas de doute

💡 Astuce MO&JO : créez une page dédiée “Reconnaître un vrai mail de MO&JO” avec les visuels, adresses, objets types… comme le font déjà de grandes plateformes (PayPal, Amazon…).

Former, informer, sécuriser : ce triptyque est aujourd’hui aussi important que vos offres commerciales

Le mot de la fin :

Le phishing n’est pas qu’un problème technique. C’est un véritable défi de communication, de perception et de confiance.

En tant que professionnel, vous ne pouvez pas vous contenter d’“éviter l’arnaque” : vous devez aussi penser comme vos clients, anticiper leurs doutes, et leur offrir un cadre clair, lisible et sécurisant.

Comprendre les mécanismes de l’hameçonnage, c’est :

  • éviter de reproduire ses codes par erreur,
  • mieux former vos équipes,
  • et surtout, renforcer votre crédibilité dans chaque point de contact.

La cybersécurité ne dépend plus seulement de votre service IT. Elle est désormais l’affaire de toute votre organisation — marketing, service client, direction, commerce. Et ça commence par des messages sans ambiguïté, des liens clairs et un ton humain.

À vous de jouer.

Contactez MO&JO pour sécuriser vos communications et renforcer la confiance numérique auprès de votre audience.

A propos de l’auteur
Lorraine

Lorraine, à la tête de la BU marketing direct chez MO&JO, est une experte reconnue en PRM & CRM. Sa direction stratégique et son savoir-faire approfondi font d'elle un pilier essentiel dans le développement des relations clients.

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