1. Travaillez l’objet de l’email pour capter l’attention

Pourquoi l’objet influe-t-il sur le taux d’ouverture ?

Un bon objet , c’est le début d’une histoire ou d’une promesse. C’est lui qui déclenche (ou non) le clic d’ouverture.

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Un objet mal formulé peut réduire considérablement le taux d’ouverture, tandis qu’un objet pertinent et engageant peut l’augmenter de 25 % (source : Campaign Monitor). Une newsletter avec un objet accrocheur a plus de chances d'attirer l'attention et d'inciter à l'ouverture.

Nos exemples pour un objet efficace :

• Personnaliser l’objet : "Julie, voici une offre exclusive pour vous !".
  
• Intégrer un chiffre : "3 astuces pour doubler votre taux d’ouverture !".
  
• Jouer sur l’urgence : "Offre valable 24h seulement !".
  
• Tester des questions engageantes : "Savez-vous vraiment comment optimiser votre emailing ?".

👉 Tips MO&JO : Testez, personnalisez, créez de l’urgence ou posez une question. Et surtout : restez humain.

2. Personnalisez vos emails pour un meilleur engagement

Pourquoi la personnalisation est essentielle en emailing ?

Une newsletter standardisée a peu de chances de capter l’attention. Une personnalisation avancée peut augmenter le taux d’ouverture de 26 % et le taux de clics de 14 % (source : Mailchimp).

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👉 Plus l’email est ressenti comme “écrit pour moi”, plus il engage.

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Pour personnaliser vos campagnes, utilisez ces 3 tips :

• Le prénom
• Le comportement (dernière visite, achat, clic)
• Des segments précis (nouveaux clients, leads chauds, etc.)

3. Optimisez le timing et la fréquence d’envoi de vos campagnes emailing

Quel est le meilleur moment pour envoyer une newsletter ?

Le moment où vous appuyez sur “envoyer” peut faire toute la différence. Selon les données observées :

• Les meilleurs jours : mardi et jeudi
• Les plages horaires gagnantes : entre 8h et 10h ou 16h et 18h

📌 Pourquoi ? Ces créneaux correspondent aux moments où votre audience consulte activement sa boîte mail, mais sans être submergée.

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À quelle fréquence faut-il envoyer vos campagnes ?

Tout est une question d’équilibre. Trop, c’est intrusif. Pas assez, c’est l’oubli.

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Nos tips MO&JO :

• Évitez la surcharge : un envoi trop fréquent fatigue l’audience
• Demandez les préférences : laissez vos abonnés choisir leur fréquence idéale
• Surveillez le taux de désinscription : il est votre baromètre de “trop plein”

👉 La clé : testez, observez, ajustez. La régularité maîtrisée renforce la confiance… et donc l’ouverture.

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4. Soignez l’expéditeur : la première impression commence ici

Pourquoi l’expéditeur influence-t-il autant le taux d’ouverture ?

Avant même de lire l’objet, 42 % des destinataires regardent d’abord qui envoie l’email (source : Litmus).

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Et si le nom vous semble inconnu ou impersonnel — type "noreply@..." — l’email part directement à la trappe (ou pire, en spam).

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L’expéditeur, c’est votre signature de confiance. C’est lui qui rassure, attire, ou fait fuir.

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Nos conseils MO&JO pour un expéditeur qui inspire confiance

• Humanisez vos envois : “Julie de MO&JO” aura toujours plus d’impact qu’un simple “info@entreprise.com”
• Évitez les “noreply” : rien de pire pour bloquer l’échange et refroidir le lien avec l’abonné
• Soyez cohérent : utilisez le même nom d’expéditeur d’une campagne à l’autre pour renforcer la reconnaissance
• Boostez votre réputation technique : configurez correctement vos DNS avec SPF, DKIM et DMARC pour maximiser la délivrabilité

💡 Un bon expéditeur, c’est un email qui arrive, se voit… et se lit.

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5. Segmentez pour cibler les bons destinataires

Pourquoi la segmentation est-elle essentielle ?

Les emails non segmentés affichent un taux d’ouverture nettement inférieur à ceux envoyés à une audience ciblée.

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Les campagnes d'emailing segmentées obtiennent en moyenne un taux d’ouverture 14,31 % plus élevé (source : Mailchimp).

4 exemples de segmentation efficace

• Segmentation démographique : Adaptez les messages selon l’âge, le sexe et la localisation.
  
• Segmentation comportementale : Ciblez les abonnés selon leurs actions passées (clics, achats, interactions avec vos emails).
  
• Segmentation par engagement : Séparez les listes d'actifs des inactifs et ajuster les stratégies de relance.
  
• Utiliser le scoring des abonnés : Notez vos destinataires selon leur activité pour leur adresser des campagnes plus pertinentes.

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6. Rédigez un préheader efficace

Qu’est-ce qu’un préheader et c'est important ?

Le préheader est le texte qui s’affiche juste après l’objet dans les boîtes de réception. Bien utilisé, il peut augmenter le taux d’ouverture de 7 %.

Les tips MO&JO pour un préheader engageant

• Compléter l’objet sans le répéter : Ajoutez des informations supplémentaires qui incitent à l’ouverture.
  
• Créer un sentiment d’exclusivité : "Découvrez en avant-première nos offres spéciales !".
  
• Utiliser des CTA implicites : "Jean, avez-vous vu notre dernière nouveauté ?".
  

7. Réengagez les abonnés inactifs

Pourquoi faut-il réactiver les abonnés dormants ?

En moyenne, 25 % des abonnés deviennent inactifs après 6 mois.
Mais attention : inactif ≠ désintéressé. Il peut s’agir :

• D’un mauvais timing
• D’un contenu mal aligné
• D’un oubli passager

👉 Réengager ces profils, c’est réveiller un potentiel déjà qualifié, et améliorer mécaniquement votre taux d’ouverture et votre délivrabilité.

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Nos stratégies MO&JO pour réactiver efficacement

• Offrez un avantage exclusif : une promo, un contenu VIP, une invitation prioritaire
• Sondez vos inactifs : un petit questionnaire pour mieux comprendre leurs attentes
• Ajustez votre cadence : réduisez la fréquence pour ne plus être perçu comme intrusif
• Créez une campagne spéciale "On vous a manqué ?" avec un ton plus humain et personnalisé.

👉 Un abonné inactif est une opportunité silencieuse. Il suffit souvent d’un bon message pour rallumer l’étincelle.

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8. Testez et analysez en continu

Pourquoi est-il essentiel de tester ses emails ?

Aucune campagne ne peut être “parfaite” du premier coup.

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Les tests A/B vous permettent de valider vos intuitions par la donnée, et d’améliorer vos performances en continu.

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À la clé : jusqu’à +37 % de taux d’ouverture constaté grâce à l’A/B testing.

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Mini cours express by MO&JO : L’A/B testing en pratique

‍Principe : Vous testez deux versions d’un même élément (objet, expéditeur, heure d’envoi, etc.) sur un échantillon de votre audience. La version qui performe le mieux est ensuite envoyée au reste de la base.

Cas concret MO&JO :

• Vous avez une base de 10 000 abonnés
• Vous testez 2 objets : A et B
• 1 000 personnes reçoivent A, 1 000 reçoivent B
• Vous attendez 2 heures et comparez :

Le résultat ?

• A = 18 % d’ouverture
• B = 26 % d’ouverture ✅

👉 On envoie l’objet B aux 8 000 restants. 

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Que pouvez-vous tester ?

• L’objet de l’email (long, court, avec emoji ou sans)
• Le pré-header (plus informatif ou plus mystérieux)
• Le nom d’expéditeur (prénom, marque, les deux)
• L’heure ou le jour d’envoi
• Le visuel, le call-to-action, ou la structure du contenu

9. Boostez votre délivrabilité

Pourquoi la délivrabilité est un enjeu crucial ?

Vous avez rédigé l’email parfait. Objet engageant, contenu soigné, design au top.Mais si votre message termine en spam, tous vos efforts sont réduits à néant.

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💡 21 % des emails marketing n’atteignent jamais la boîte de réception.

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‍👉 Travailler la délivrabilité, c’est assurer que vos emails sont visibles, avant même de penser à leur ouverture.

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Nos bonnes pratiques pour améliorer votre délivrabilité

• Authentifiez votre domaine : SPF, DKIM, et DMARC sont vos alliés pour prouver que vous êtes un expéditeur fiable
• Bannissez les mots spammy : dans l’objet comme dans le contenu — évitez les “100 % gratuit”, “Cliquez ici maintenant”, ou “Offre exceptionnelle”
• Nettoyez régulièrement votre base : supprimez les adresses invalides, les contacts inactifs et les rebonds
• Surveillez votre réputation d’expéditeur : plus vos emails sont ouverts et pertinents, plus vous serez bien noté par les FAI

10. Proposez un contenu à forte valeur ajoutée

Pourquoi le contenu influence (aussi) le taux d’ouverture

Un bon objet attire, mais c’est le contenu qui fidélise.

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Si vos lecteurs savent qu’ouvrir vos emails rime avec valeur, utilité, exclusivité, alors ils reviendront et cliqueront.

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👉 À l’inverse, un email vide, générique ou auto-centré ? Il sera vite ignoré… ou supprimé.

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4 exemples de contenus qui engagent (vraiment)

• Racontez une histoire : utilisez le storytelling pour créer du lien émotionnel
• Misez sur le visuel : vidéos, infographies, GIFs = contenus digestes et attractifs
• Offrez de l’exclusif : accès prioritaire, codes VIP, contenu réservé aux abonnés
• Proposez du concret : guides pratiques, astuces ciblées, retours d’expérience utiles

Un bon contenu ne vend pas, il résout un problème, capte l’attention et crée de la valeur.

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FAQ - vos questions sur l'emailing

1. Qu’est-ce que le taux d’ouverture en emailing ?

Le taux d’ouverture correspond au pourcentage d’emails ouverts par rapport au nombre total d’emails effectivement délivrés. C’est le premier indicateur à surveiller pour mesurer l’intérêt de vos destinataires.

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👉 Pour aller plus loin, consultez notre guide complet dédié.

2. Comment calculer le taux d’ouverture d’un email ?

La formule est simple : Taux d’ouverture = (Emails ouverts ÷ Emails délivrés) × 100

‍Attention à bien exclure les rebonds (soft et hard) dans le dénominateur.

3. Quel est un bon taux d’ouverture pour une campagne emailing ?

Cela dépend du secteur et du type de campagne :

• B2B : entre 15 % et 25 %
• B2C : jusqu’à 30 %, voire plus en cas de contenu très ciblé
  🎯 L’important, c’est de comparer vos taux aux benchmarks de votre secteur… et à vos propres performances passées.

4. À quelle fréquence faut-il envoyer des emails ?

Il n’y a pas de règle universelle. Tout dépend de votre audience, de votre promesse et de votre contenu.

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Quelques repères :

• Trop = risque de désabonnement
• Trop peu = perte d’intérêt
  👉 Testez différentes cadences et suivez vos taux d’ouverture et de désinscription pour ajuster.

5. Quelle est la différence entre taux d’ouverture et taux de clics ?

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Le mot de la fin : des bases solides font des campagnes puissantes

Au-delà des techniques et des optimisations, ce sont les fondamentaux qui font la différence dans la durée.

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Avant de chercher à tout tester, assurez-vous que votre stratégie emailing repose sur des bases saines :

• Respectez vos abonnés : optez pour des listes opt-in, des désabonnements simples, et une transparence totale sur l’utilisation des données.
• Rendez vos emails accessibles à tous : design inclusif, texte alternatif, structure HTML propre… chaque détail compte.
• Pensez mobile-first : plus de 60 % de vos emails seront lus sur smartphone. Si ce n’est pas optimisé, c’est ignoré.
• Soignez votre base d’envoi : privilégiez la qualité à la quantité. Une base engagée, c’est le socle d’une délivrabilité et d’un taux d’ouverture solides.

Envie d’aller plus loin ? Vous ne voulez plus “envoyer pour envoyer” mais bâtir une vraie stratégie emailing performante ?

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👉 Contactez MO&JO et faisons ensemble de vos campagnes un levier de croissance concret.

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