Comment le taux d’ouverture unique influence les clics et la réussite de vos campagnes emailing ? 

Plongez dans les coulisses du taux d’ouverture unique et découvrez pourquoi ce KPI peut être trompeur. Cet article vous guide pas à pas pour transformer vos campagnes emailing en véritables leviers de performance.

Temps de lecture :
10 min
Lorraine
Publié le
4/16/2025
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10 min
Lorraine
Publié le
4/16/2025

Comment le taux d’ouverture unique influence les clics et la réussite de vos campagnes emailing ? 

Plongez dans les coulisses du taux d’ouverture unique et découvrez pourquoi ce KPI peut être trompeur. Cet article vous guide pas à pas pour transformer vos campagnes emailing en véritables leviers de performance.

Le taux d'ouverture unique est souvent le premier indicateur analysé à la suite d’une campagne d’emailing. Il offre une lecture rapide de la performance : combien de personnes ont ouvert l’email parmi les destinataires ?

Pour autant, ce nombre ne reflète pas toujours la réalité de l’engagement. De nombreux responsables marketing se basent uniquement sur ce KPI, sans en mesurer les limites ni les biais.

Quel que soit votre secteur d’activité, un taux élevé peut sembler rassurant. Mais derrière ce chiffre se cache souvent une interprétation trompeuse. Vos campagnes affichent peut-être 30 % d’ouverture, mais combien de ces destinataires ont vraiment lu votre contenu, cliqué, ou effectué une action ?

Votre taux d'ouverture unique ne reflète pas réellement l’impact de vos campagnes ? Chez MO&JO, agence emailing, nous vous aidons à décrypter vos données, affiner votre stratégie et maximiser le nombre d’ouvertures qualifiées pour que chaque email envoyé compte vraiment.

En bref :

  • Qu'est-ce que le taux d'ouverture unique ? Il correspond au nombre de destinataires ayant ouvert votre email au moins une fois, sur l’ensemble des emails délivrés.
  • Pourquoi il peut induire en erreur ? Biais techniques, automatisations, erreurs d’interprétation : un taux élevé ne garantit ni lecture, ni conversion.
  • Comment l’optimiser dans votre stratégie emailing ? En adaptant vos objets, en travaillant la segmentation, et en analysant vos campagnes à la lumière de données concrètes selon les spécificités de votre secteur et de vos objectifs business.

Pourquoi un bon taux d'ouverture peut vous donner une fausse impression de succès ?

Un taux d'ouverture élevé ne veut pas forcément dire que votre email a été lu.

Voilà une vérité que peu de professionnels veulent entendre. Pourtant, il est essentiel de comprendre que l’ouverture d’un email est souvent… une illusion.

Ce chiffre rassurant, mis en avant par tous les outils d’emailing, ne reflète qu’une infime partie de la réalité : celle d’un utilisateur qui a laissé l’email s’afficher, parfois par accident, sans jamais en lire le contenu.

Pourquoi ce décalage ?

Parce que le taux d'ouverture est généralement déclenché par le chargement d’un pixel invisible placé dans l’email. Or, ce pixel peut être activé même sans réelle lecture, notamment via l’aperçu automatique d’un client de messagerie ou lorsqu’un utilisateur survole rapidement l’email sans s’y attarder.

Ouvrir ne veut pas dire lire. Et encore moins cliquer, comprendre, ou acheter.

Le danger, c’est donc de se satisfaire d’un KPI flatteur, sans creuser plus loin.


👉 Le résultat : on croit que la campagne fonctionne, alors qu’en réalité, elle passe totalement à côté de son audience.

Taux d'ouverture unique vs taux total : comprendre la différence

Un autre biais courant réside dans la confusion entre taux d'ouverture total et taux d'ouverture unique. Cette nuance, pourtant fondamentale, change totalement l’interprétation de vos performances.

  • Le taux d'ouverture unique : mesure le nombre de destinataires ayant ouvert l’email au moins une fois, sans compter les réouvertures.
  • Le taux d'ouverture total : prend en compte toutes les ouvertures, y compris lorsqu’un même utilisateur ouvre plusieurs fois l’email.

💡 Exemple MO&JO :

  • Vous envoyez un email à 1000 contacts.
  • 300 personnes l’ouvrent une fois = 30 % d’ouverture unique
  • 150 personnes l’ouvrent deux fois, 50 trois fois = 40 % d’ouverture total

Où est le piège ?

Certains outils mettent en avant le taux total, plus élevé, pour flatter l’ego… mais sans indiquer que cela gonfle artificiellement la performance. Le taux d'ouverture unique, plus strict, reste l’indicateur le plus fiable pour mesurer la portée réelle d’une campagne.

❌ L’Erreur classique à ne pas faire  : baser son A/B testing ou ses décisions stratégiques sur un taux total, et penser que le message performe, alors qu’il n’a séduit qu’une minorité de lecteurs actifs.

Comment mesurer correctement votre taux d'ouverture unique ?

La formule du taux d'ouverture unique est la suivante :

taux d'ouverture unique = (Nombre d’ouvertures uniques / Nombre d’emails délivrés) x 100

Prenons un cas pratique :

  • Vous avez envoyé 2000 emails, dont 100 ont été bloqués.
  • Sur les 1900 délivrés, 532 ont été ouverts au moins une fois.

👉 taux d'ouverture unique = (532 / 1900) x 100 = 28 %

Ce chiffre représente donc le pourcentage de votre base qui a interagi au moins une fois avec votre message. Mais attention, ce chiffre n’est valable que si les conditions de tracking sont fiables.

Vos outils de mesure sont-ils fiables ?

Depuis la mise à jour iOS 15, Apple empêche le suivi classique des ouvertures d’emails via son système de “Mail Privacy Protection”.

Le résultat : les pixels de tracking sont chargés automatiquement, même si l’utilisateur ne lit pas l’email. Une distorsion majeure qui fausse les taux d'ouverture, notamment sur les bases fortement composées d’utilisateurs Apple.

Voici 3  facteurs qui biaisent les résultats :

  • Les aperçus automatiques (ex. Outlook ou Gmail) qui déclenchent une ouverture sans lecture réelle.
  • Les bloqueurs de pixels utilisés par certaines extensions ou serveurs de messagerie sécurisés.
  • Les multi-appareils : un même utilisateur peut ouvrir l’email sur plusieurs supports, créant des doublons ou faussant le taux total.

 Pour faire simple  : le taux d'ouverture unique reste utile… mais jamais seul. Il doit toujours être analysé en croisement avec d’autres indicateurs : taux de clic, de conversion, de réactivité, etc.

Évaluez votre taux d'ouverture unique en 2 étapes concrètes

1. Diagnostiquez vos performances à partir du contexte

Dire qu’un taux d'ouverture unique est bon ou mauvais sans contexte, c’est comme juger une stratégie marketing uniquement à son budget. Cela n’a aucun sens.

Avant de paniquer (ou de sabrer le champagne), posez-vous les bonnes questions :

Quel est l’objectif de l’envoi ?

Une campagne de fidélisation ne sera pas jugée sur les mêmes bases qu’un envoi promotionnel massif. Un taux d'ouverture à 20 % peut être très satisfaisant pour l’un, et décevant pour l’autre.

Quel est l’historique de votre base ?

Si votre base est ancienne, peu engagée, ou peu segmentée, vos performances seront naturellement plus basses. L’important, ce n’est pas le chiffre brut, mais la tendance. Est-ce que vos taux progressent ? Ils stagnent ? Ils régressent ? Voilà la vraie information stratégique.

💡 Conseil MO&JO : Un bon taux d'ouverture n’existe pas de manière universelle. Il existe un bon taux pour votre audience, votre secteur, votre stratégie d’envoi.

2. Identifiez les signaux faibles avant qu’ils ne deviennent critiques

Un taux d'ouverture ne chute pas brutalement du jour au lendemain. Il s’érode. Lentement. Silencieusement. Et souvent, on ne s’en rend compte que lorsqu’il est déjà trop tard.

Voici les signaux faibles à surveiller, et qui doivent déclencher une action immédiate dans votre stratégie emailing :

Une baisse progressive sur plusieurs campagnes consécutives.

Ce n’est pas un accident. C’est un symptôme. Fatigue de votre audience ? Répétitivité des contenus ? Problème de délivrabilité ? À vous de creuser.

Une stagnation alors que vous multipliez les efforts.

Vous avez testé de nouveaux objets, changé l’heure d’envoi, ajusté votre segmentation… mais rien ne bouge ? Cela signifie que le problème est plus structurel : qualité de la base, manque de valeur perçue dans vos messages ou promesse floue dès l’inscription.

Une hausse des désabonnements ou des adresses inactives.

C’est souvent le signal que votre contenu n’apporte plus suffisamment d’information pertinente, ou que votre fréquence d’envoi n’est plus adaptée. Là encore, ce n’est pas une question de volume, mais de pertinence marketing.

Le vrai risque ? Continuer à envoyer comme si de rien n’était sans ajuster votre stratégie. Parce qu’en emailing, un contenu mal ciblé ne fait pas que baisser vos taux… il détériore votre délivrabilité globale. Et ça, c’est bien plus difficile à réparer qu’un objet peu inspirant.

Si vos emails ne sont pas lus, voici probablement pourquoi

Un taux d'ouverture faible n’est jamais une fatalité. C’est souvent le reflet d’un ou plusieurs blocages identifiables et surtout, corrigeables. Voici les causes les plus fréquentes que nous observons chez nos clients, quelle que soit la taille de leur entreprise ou leur secteur d’activité.

Des objets trop plats, des pré-headers négligés

Votre objet est la première ligne de votre email marketing. Si elle est banale, floue ou trop longue, votre message sera ignoré, voire supprimé, sans même être ouvert.

Ce que voient vos abonnés dans leur boîte de réception, c’est un trio : le nom de l’expéditeur, l’objet et le pré-header. Ces trois éléments sont la vitrine de votre contenu.

❌ Mauvais exemple d’objet :

Une base trop large et mal ciblée

Si vous Envoyez une newsletter à toute votre liste d’abonnés sans distinction, c’est comme envoyer le même message à toute votre entreprise : vous parlez, mais personne n’écoute.

Chaque abonné a ses propres attentes, comportements et moments de disponibilité. Une stratégie emailing efficace repose sur une segmentation fine, basée sur :

  • Le comportement d’ouverture et de clic
  • Le niveau d’engagement
  • Le cycle de vie client
  • La date d’abonnement ou la source de la donnée

Une entreprise qui diffuse ses emails sans distinction produit des campagnes inefficaces… et use la patience de ses lecteurs.

👉 Résultat : une baisse de votre taux d'ouverture, une  hausse des désabonnements et un signalement en spam. Et dans vos rapports de campagne ? Des statistiques décourageantes, malgré un contenu parfois très bon.

Un manque de personnalisation et de rythme

Trop d’envois tuent l’envoi. Trop peu aussi. Tout est question de rythme… et de pertinence.

Il ne s’agit pas de mettre automatiquement le prénom de l’abonné en haut de l’email (“Bonjour [Prénom]”) et d’appeler ça de la personnalisation. Non. La vraie personnalisation, c’est :

  • Adaptez la fréquence selon l’engagement
  • Proposez du contenu pertinent, au bon moment
  • Utilisez des données comportementales pour anticiper les besoins

Et n’oubliez pas votre nom d’expéditeur. Est-il cohérent avec votre marque ? Suscite-t-il la confiance ? L’impact du nom est souvent sous-estimé, alors qu’il influence directement l’ouverture.

✅ Bon Exemple :

❌ Mauvais Exemple :

Comment améliorer votre taux d'ouverture unique (et l’engagement global)

Améliorer son taux d'ouverture unique, ce n’est pas une affaire de chance, ni une simple question de bon timing. C’est le résultat d’une stratégie emailing structurée, qui s’appuie sur une meilleure connaissance de vos abonnés, sur la pertinence des contenus, et sur une capacité à s’adapter en permanence.

Voici les leviers concrets que vous pouvez activer pour faire grimper le nombre d’ouvertures de vos campagnes et surtout, pour maintenir un taux d'ouverture durablement performant.

1. Objets et pré-headers qui donnent envie d’en savoir plus

Le taux d'ouverture commence dès la boîte de réception. À ce stade, votre campagne est jugée en une fraction de seconde. L’objet doit susciter la curiosité, donner une raison claire d’ouvrir et de refléter la valeur du contenu sans tomber dans le sensationnalisme.

💡 Quelques règles d’or :

  • Veillez à limiter à 45 caractères pour garantir une bonne lecture sur mobile.
  • La tournure interrogative est un bon exemple  : “Avez-vous oublié ce client ?”
  • La mise en avant un bénéfice clair : “3 idées concrètes pour doubler votre taux de clic”
  • Utiliser des verbes d’action pour inciter à ouvrir

Le pré-header, quant à lui, doit compléter l’objet, pas le répéter. C’est l’espace où l’on peut ajouter un second argument, une information contextuelle, ou jouer sur l’urgence.

Un bon objet + un bon pré-header = un maximum de chances d’améliorer votre taux d'ouverture, quel que soit le nombre d’abonnés ciblés dans votre campagne.

2. Personnalisation et timing : duo gagnant

Envoyer le bon message, à la bonne personne, au bon moment : c’est la base. Pourtant, dans de nombreuses campagnes, ce principe est encore ignoré.

Résultat ? Un taux d'ouverture qui plafonne, malgré une augmentation du nombre d’envois.

Voici comment personnaliser intelligemment :

  • L’utilisation du prénom de votre client dans le champ objet si cela est pertinent
  • Segmenter selon le comportement : clics précédents, historique d’achat…
  • Adapter l’heure et le jour d’envoi selon les données de vos précédentes campagnes

Par exemple, si vos statistiques montrent que vos abonnés ouvrent majoritairement les emails le mardi matin, inutile d’envoyer vos campagnes le vendredi soir.

Chaque campagne emailing doit se nourrir des leçons de la précédente, pour faire progresser votre taux d'ouverture au fil du temps.

3. Nettoyage de base : mieux vaut moins, mais mieux

Il est vrai qu’un grand nombre d’abonnés dans votre base peut être flatteur… mais contre-productif si la majorité d’entre eux ne lit plus vos emails. Pire encore : des adresses inactives tirent vers le bas votre taux d'ouverture et dégradent votre réputation d’expéditeur.

Il est essentiel d’adopter une routine de nettoyage :

  • Supprimer les contacts inactifs depuis plus de 6 mois
  • Mettre en place des workflows de réengagement avant suppression
  • Créer des segments d’abonnés très engagés, moyennement engagés, inactifs

💡 Conseil MO&JO :Mieux vaut une base de 5 000 contacts avec un taux d'ouverture à 40 %, qu’une base de 30 000 avec un taux de 8 %.

Chaque campagne d’emailing repose sur la qualité de votre liste. Moins de bruit = plus d’impact. Un bon nettoyage, c’est un taux plus élevé, un nombre de clics plus important, et un ROI plus solide.

4. Améliorez votre réputation d’expéditeur

Le taux d'ouverture est étroitement lié à votre réputation d’expéditeur. Si vos campagnes finissent en spam, votre nombre d’ouvertures chutera mécaniquement — peu importe la qualité de votre contenu.

Voici les points à vérifier régulièrement :

  • Authentification de domaine (SPF, DKIM, DMARC)
  • Consistance du nom d’expéditeur (évitez les changements fréquents)
  • Fréquence d’envoi maîtrisée : ni trop, ni trop peu
  • Réactivité rapide aux signalements et désabonnements

💡 Conseil MO&JO :Si vous constatez une chute soudaine de votre taux d'ouverture, pensez à consulter vos rapports de délivrabilité. Il s’agit souvent d’un signal d’alerte : votre campagne est bloquée avant même d’avoir une chance d’être ouverte.

FAQ – Tout ce que vous devez savoir sur le taux d'ouverture unique

1. Est-ce que le taux d'ouverture est encore fiable depuis iOS 15 ?

Depuis la mise à jour d’iOS 15, Apple masque automatiquement l’ouverture réelle des emails grâce à la Mail Privacy Protection. Résultat : certains emails sont comptabilisés comme “ouverts”, même s’ils n’ont jamais été consultés par le destinataire.

Cela fausse une partie des statistiques, surtout si votre liste de contacts contient beaucoup d’utilisateurs Apple.

Le taux d'ouverture reste un indicateur utile, mais il doit être interprété avec prudence. L’idéal est de le croiser avec d’autres données comme le taux de clic ou de réactivité pour mieux évaluer l’impact réel de vos campagnes.

2. Comment améliorer le taux d'ouverture d’une newsletter inactive ?

Si votre newsletter affiche un faible taux d'ouverture depuis plusieurs envois, il est temps d’agir. Voici quelques pistes concrètes :

  • Travailler des objets plus percutants et orientés bénéfice
  • Nettoyer ou segmenter votre liste de destinataires
  • Tester de nouveaux créneaux d’envoi (jour, heure)
  • Réactiver les contacts avec une campagne spécifique de réengagement

L’objectif : relancer l’intérêt sans sur-solliciter. Un abonné inactif peut redevenir actif… si vous adaptez le message et le bon timing.

3. Faut-il supprimer les destinataires inactifs ou essayer de les réengager ?

Avant de supprimer définitivement des destinataires inactifs, il est judicieux de tenter une campagne de réactivation. Cela permet de :

  • Vérifier s’il s’agit d’une inactivité temporaire
  • Proposer un contenu spécifique pour raviver l’intérêt
  • Offrir la possibilité de gérer la fréquence de réception

Si, après plusieurs tentatives, le contact reste inactif, Il vaut mieux le retirer de votre liste. Cela améliorera la qualité globale de votre base, votre taux d'ouverture, et surtout, votre réputation d’expéditeur.

4. Un faible taux d'ouverture signifie-t-il que ma campagne est un échec ?

Pas forcément. Un taux d'ouverture faible peut indiquer plusieurs choses : une mauvaise accroche dans l’objet, un problème de délivrabilité, ou une base mal segmentée. Mais cela ne signifie pas que toute la campagne est à jeter.

Analysez l’ensemble des indicateurs : taux de clic, conversions, retours qualitatifs. Une campagne emailing bien conçue peut avoir un faible taux d'ouverture, mais générer de bons résultats auprès d’un nombre ciblé de destinataires.

Le mot de la fin : l’ouverture n’est que le début du tunnel de conversion

Il est tentant de se focaliser sur le taux d'ouverture comme premier indicateur de performance, surtout lorsqu’on programme des campagnes d’emailing régulièrement.

Pourtant, ce KPI ne doit jamais être lu seul. Il reflète la capacité d’un email à capter l’attention, mais pas nécessairement à engager ou convertir.

Pour qu’un bon taux d'ouverture soit vraiment utile à votre stratégie marketing, il doit être :

  • Mis en relation avec le taux de clic, le taux de conversion et la réactivité
  • Interprété dans le contexte de vos objectifs : notoriété, fidélisation, activation, vente
  • Corrélé à la qualité de votre liste de destinataires : plus votre base est engagée, plus votre tunnel sera performant

En clair, votre campagne emailing peut très bien afficher un taux d'ouverture de 35 %, et ne générer aucun clic… ou l’inverse. Ce qui compte, c’est la progression du nombre d’interactions utiles, pas juste le fait que l’email ait été ouvert.

Votre taux d’ouverture stagne ou chute sans explication ? Nous analysons vos campagnes, votre base et votre délivrabilité pour identifier les vrais blocages.


Contactez-nous pour un diagnostic sur-mesure et des solutions concrètes.

A propos de l’auteur
Lorraine

Lorraine, à la tête de la BU marketing direct chez MO&JO, est une experte reconnue en PRM & CRM. Sa direction stratégique et son savoir-faire approfondi font d'elle un pilier essentiel dans le développement des relations clients.

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