Qu’est-ce qu'un bon taux d’ouverture ?

Définition du taux d’ouverture : comment le comprendre ?

Le taux d’ouverture, c’est le pourcentage d’emails ouverts parmi ceux qui ont bien été livrés. Un simple chiffre ? Non : c’est un indicateur de désirabilité, une boussole pour votre stratégie de contenu.

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Un email ouvert, c’est une campagne qui a su capter l’attention. Le reste se joue ensuite.

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Ouverture unique vs ouverture totale : quelle différence ?

La distinction à connaître :

• Ouverture unique : un destinataire est comptabilisé une seule fois, même s’il ouvre l’email plusieurs fois.
• Ouverture totale : toutes les ouvertures sont comptabilisées, y compris celles des mêmes destinataires.

Pourquoi le taux d’ouverture est un KPI crucial ?

1. L’impact sur votre délivrabilité

Un bon taux d’ouverture, c’est comme un signal vert pour Gmail, Outlook & co. Les messageries scrutent l’engagement de vos destinataires : plus vos emails sont ouverts, plus ils sont perçus comme légitimes. À l’inverse, un taux bas peut rapidement vous faire glisser dans les limbes du dossier spam. Engagement = délivrabilité.

2. La réputation d’expéditeur : la pierre angulaire

Votre taux d’ouverture alimente directement votre réputation d’expéditeur. Plus elle est solide, plus vos emails arrivent à bon port. Moins elle l’est, plus vous risquez le filtrage ou le blocage pur et simple. C’est simple : sans confiance, pas de performance.

3. Le ROI commence par l’ouverture

Aucun clic, aucune conversion sans ouverture. Le taux d’ouverture, c’est le point de départ de toute action marketing efficace. Le booster, c’est mécaniquement améliorer :

• le taux de clics (CTR)
• le taux de conversion
• et donc, votre ROI global

👉 En clair, si vos emails ne sont pas lus, vous ne jouez même pas la partie.

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Quels sont les benchmarks du marché ?

Par secteur : des écarts qui en disent long sur vos taux d'ouverture

Tous les emails ne se valent pas — et selon votre secteur, les attentes ne sont pas les mêmes. Voici ce que disent les chiffres :

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👉 Pourquoi ces écarts ?

• Les secteurs perçus comme utiles ou informatifs (ONG, éducation, services publics) bénéficient d’un taux d’ouverture naturellement élevé.
• Le e-commerce, très compétitif et souvent perçu comme trop promotionnel, subit une saturation de boîte mail qui pèse sur ses performances.
• Dans le voyage, l’engagement est lié à une intention d’achat précise : hors période propice, les taux chutent.

B2B vs B2C : quelles différences dans les taux d’ouverture ?

• +25 % → Très bon signal : votre audience est réceptive
• 15 – 25 % → Vous êtes dans la moyenne, mais améliorable
• <15 % → Alerte rouge : votre stratégie a besoin d’un sérieux coup de frais

Le vrai benchmark, c’est le vôtre.
Comparez-vous d’abord… à vous-même. Suivez l’évolution de vos propres campagnes, testez, ajustez, puis comparez au marché. C’est là que commence l’optimisation.

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Comment améliorer son taux d’ouverture ?

Optimiser le taux d’ouverture, ce n’est pas (seulement) une question d’objets accrocheurs. C’est un travail de fond qui mêle stratégie, timing et précision. Voici les leviers qui font la différence.

1. Soignez votre objet comme une accroche publicitaire

Court, clair, percutant. Un bon objet intrigue, provoque une émotion ou promet une valeur claire. La personnalisation (prénom, contexte, comportement) augmente nettement les chances d’ouverture.

2. N’oubliez pas le pré-header

Souvent négligé, il complète l’objet. Utilisez-le comme un teaser : donnez envie de cliquer, sans tout dévoiler.

3. Envoyez au bon moment

Testez différents jours, heures et fréquences. Le timing parfait dépend de votre audience, pas de règles universelles. Et ce qui a marché mardi dernier, ne fonctionnera peut-être plus ce jeudi.

4. Segmentez intelligemment

Plus vos messages sont ciblés, plus ils sont pertinents. Par comportement, cycle de vie client, engagement… Parlez à une personne, pas à une base.

5. Nettoyez votre base régulièrement

Supprimez les contacts inactifs, corrigez les erreurs d’adresse, validez les nouveaux entrants. Une base propre = meilleure réputation = meilleure délivrabilité.

6. Testez, testez encore

Objet, expéditeur, moment d’envoi, call-to-action... Le test A/B est votre meilleur allié pour affiner ce qui fonctionne (et laisser tomber ce qui ne fonctionne pas).

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FAQ - Les questions qu’on nous pose (très) souvent

Pourquoi mes performances sont-elles en dessous des benchmarks ?

Pas de panique. Une campagne en demi-teinte peut venir de plusieurs facteurs : objet peu engageant, base peu qualifiée, mauvais timing, ou encore problèmes de délivrabilité. L’essentiel, c’est de passer en mode décryptage : analysez, testez, ajustez.
👉 Pour un diagnostic plus poussé, lisez notre guide sur l'échec d'une campagne emailing

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Comment augmenter efficacement mon taux d’ouverture ?

Commencez par l’objet, l’expéditeur, la segmentation et le moment d’envoi. Ce sont les 4 piliers. Ensuite, testez en continu et nettoyez régulièrement votre base.
👉 On vous a regroupé l’essentiel dans notre article 10 Conseils pour Améliorer son Taux d’Ouverture Emailing.

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Email CRM vs Email promo : quel impact sur le taux d’ouverture ?

• Les emails CRM (relationnels, personnalisés) sont souvent mieux perçus → taux d’ouverture plus élevé.
• Les emails promotionnels sont parfois vus comme intrusifs → taux plus bas, surtout si mal ciblés.
  👉 Pour comprendre les écarts par type d’email et secteur, découvrez : Quel est un bon Taux d’Ouverture ?

Le mot de la fin :

À retenir :

• Le taux d’ouverture est un indicateur essentiel pour évaluer la performance de vos campagnes

• Un bon taux se situe entre 15 % et 35 % selon votre secteur

• Optimiser ses objets, personnaliser les envois et choisir le bon timing sont les meilleures pratiques

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Envie d'une campagne marketing qui cartonne ? Nos experts se feront un plaisir de vous aider !

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